Dans son livre l’Alchimiste, Paulo Coelho a écrit :
la peur de la souffrance est pire que la souffrance elle-même. »
Et si l’on remplaçait le mot « souffrance » par « virus » ? Eh bien ce serait toujours aussi pertinent !
La peur est pire que tout… et notre monde en est infecté bien plus dangereusement que le coronavirus.
Cette histoire de coronavirus est en train de prendre des proportions folles. Imaginez qu’hier, dans l’hôpital de ma ville, des gens ont volé tous les masques gracieusement mis à disposition des visiteurs dans le hall d’entrée de l’hôpital ! Ces masques avaient été placés à cet endroit pour permettre aux visiteurs potentiellement contaminés de protéger les plus vulnérables, les malades eux-mêmes. Eh bien non, ces visiteurs pour la plupart bien-portants, sont venus uniquement pour chaparder les masques.
Voilà qui est symptomatique (pardonnez-moi l’expression) de cette psychose collective qui est en train de virer à l’hystérie.
Voici donc quelques rappels utiles :
- « Le microbe n’est rien, c’est le terrain qui est tout ! Pasteur est fou ! » (Claude Bernard)
- La peur et plus particulièrement quand elle est chronique, est un facteur d’affaiblissement de l’immunité.
- L’infection virale au coronavirus reste une pathologie bénigne dans plus de 90% des cas, qui guérissent spontanément et sans traitement.
- Seules les personnes dont l’immunité est déficiente (comme c’est le cas des personnes déjà affaiblies par une ou plusieurs maladies) encourent un risque, comme c’est d’ailleurs le cas pour la grippe saisonnière.
Il n’y a donc pas lieu de se laisser contaminer par le climat anxiogène qui règne actuellement, et ce d’autant plus que la peur, en plus d’être bien mauvaise conseillère comme on le sait, n’est en rien indispensable pour prendre les mesures sanitaires qui s’imposent.
Et qu’en est-il de la vaccination ?
Le système immunitaire d’une personne en bonne santé est tout à fait capable de produire les anticorps à même de lutter contre le coronavirus si l’organisme est infecté. Je précise d’ailleurs que le vaccin joue précisément ce rôle, à savoir celui de stimuler les cellules immunitaires pour qu’elles fabriquent des anticorps spécifiques en les exposant à une faible dose de virus, jouant de ce fait pleinement sur le principe de l’hormèse selon lequel « c’est la dose qui fait le poison » ou « ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort », rendant de ce fait la vaccination intéressante pour les personnes déjà affaiblies MAIS PAS pour les personnes en bonne santé. En cela, rendre obligatoire la vaccination et la généraliser, est une aberration pure et simple !
Face à ce constat, on oppose souvent l’argument de la « solidarité vaccinale » en arguant, non sans culpabilisation, que ceux qui ne veulent pas se faire vacciner risque de contaminer ceux dont l’immunité est beaucoup trop affaiblie pour se faire vacciner. C’est aller un peu vite en besogne car dans une démarche réellement scientifique, il conviendrait avant toute chose de déterminer la balance bénéfice-risque. Car il est évident que vacciner toute une population pour protéger une minorité d’individus vulnérables (sans pour autant leur offrir la garantie que cette vaccination les protège effectivement) peut présenter des risques en matière de santé publique compte tenu des effets secondaires induits par la vaccination à court, moyen et long terme.
Comment renfoncer l’immunité ?
Ce qui m’apparait donc comme fondamental est de renforcer l’immunité, et je vous renvoie à ce titre aux informations regroupées dans cet article. Vous y trouverez également un exercice audio que j’ai créé dans le but de vous aider à renforcer votre immunité, alliant pour cela la pleine conscience à la visualisation créatrice.
Sur ce thème, je vous invite à découvrir également les vidéos et articles produits par le Dr. Christian Tal Schaller et le Dr. Henri Joyeux. Ces courageux et honnêtes médecins dissidents sont montés au créneau depuis plusieurs années pour alerter la population contre les méfaits des vaccins et l’importance de l' »écologie intérieure » dans le contexte de la santé.