Pseudo-élite et crise sanitaire

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  • Dernière modification de la publication :30 décembre 2023

Dans une récente newsletter, j’ai à nouveau insisté sur l’équanimité en tant que juste positionnement à adopter face à cette « masque-arade » du coronavirus, et plus largement face à tout ce qui est susceptible d’arriver… en ce bas monde.

Dans une de mes vidéos, appelée la Voie du Milieu : sortir de la caverne des illusions, j’avais pris soin d’y expliquer en quoi toute action qui s’inscrirait hors de l’équanimité, impulsée par des sentiments d’indignation et de révolte – tout compréhensibles et justifiables qu’ils soient du point de vue de l’ego –, ne peut vibratoirement que renforcer et « nourrir » la cible de la révolte et de l’indignation, soit l’expression du « mal » en ce monde, et le faire ainsi prospérer en dépit des meilleures intentions du monde.

Or, il m’a été reproché de ne pas être moi-même équanime en véhiculant des opinions qui sont en phase avec les thèses des indignés et des révoltés taxés aujourd’hui de « complotistes » par les adeptes de la pensée unique.

Il est vrai que je porte un regard critique sur cette supercherie mondiale qui nous est imposée. Selon moi, elle porte gravement atteinte aux libertés fondamentales et relève d’une instrumentalisation politique destinée à servir les intérêts d’une pseudo-élite composée de gens influents car richissimes (qui sont comme les marionnettistes dont les marionnettes dont ils tirent les ficelles sont les médias mainstream dévoyés, les médecins vendus à Big Pharma et les politiciens corrompus).

Cependant, le fait de prendre position de ce cette manière en faisant valoir mon opinion, ne s’oppose absolument pas à l’équanimité, car celle-ci n’est aucunement synonyme de la notion de « neutralité d’opinion » qui impliquerait de ne prendre aucunement parti dans le contexte actuel.

L’équanimité est en effet sans rapport aucun avec la neutralité d’opinion ; elle concerne la stabilité (ou l’équilibre) de la conscience dont la paix n’est pas altérée par l’action. Ainsi, tout comme il est possible de prendre position à partir d’un sentiment de révolte ou d’indignation, il est possible de le faire à partir d’une conscience équanime. D’un point de vue extérieur, l’opinion partagée est identique dans les deux cas, mais la tonalité intérieure de celui ou celle qui l’émet, est par contre très différente.

Cette différence de positionnement peut s’expliquer ainsi : l’individu indigné ou révolté est émotionnellement sous l’influence des impulsions de l’ego (réagissant à partir de ses conditionnements, de ses blessures, de ses croyances), alors que le rebelle dont la conscience est maintenue équanime agit à partir de l’espace de tranquillité inhérent à l’Être qu’il est en essence, dans un état d’être où l’ego et ses intérêts strictement personnels sont absents. C’est toute la différence entre l’action intéressée et l’action juste, fondamentalement désintéressée ; c’est toute la différence entre l’action non-agissante, celle qui s’inscrit dans la Voie du juste Milieu, et l’action égotique ne dépassant jamais le cadre mental de la dualité du « bien » et du « mal ».

En ce qui me concerne, je ne suis pas un « tiède » au sens au Jésus l’entendait. Je suis animé par un esprit de justice (et de justesse) et ma nature extravertie me pousse à mettre en lumière ce que j’apparente à des manipulations et des injustices. Partisan de la Voie du Milieu, j’évite de me placer dans aucun des camps qui s’opposent. La seule chose à laquelle j’aspire est de servir le Divin en moi, cherchant à privilégier l’action juste, c’est-à-dire celle qui est appropriée au Tout, dans le détachement également des conséquences de cette action.

Il est donc naturel pour moi de m’exprimer dans le contexte actuel, en le faisant autant que possible à partir de l’état d’équanimité. Ainsi, j’exprime mes idées, je partage mon opinion, je dénonce les injustices et les manipulations, je pose un regard critique en faisant preuve de discernement, mais en évitant autant que possible de le faire sur la base d’impulsions qui seraient celles d’un ego réagissant à partir des sentiments d’injustice, de trahison ou d’impuissance.

Dans l’optique d’une démarche qui s’inscrit dans la justesse de cette Voie dite du Milieu (« milieu »… car transcendant l’opposition des camps du « bien » et du « mal »), l’important n’est pas tant ce que l’on fait, mais l’état de conscience qui est le nôtre lorsqu’on le fait. Ainsi, celui qui milite et prend position à partir d’une conscience équanime serait aussi « juste » dans sa démarche que celui qui renoncerait à prendre position parce que cette absence d’action s’imposerait à partir de l’équanimité également.

En d’autres termes, l’important n’est pas ce que l’on fait, mais la tonalité intérieure qui est la nôtre lorsqu’on le fait. Être physiquement et mentalement passif, ou au contraire actif, peut être juste dans les deux cas selon les circonstances. Rien ne permet d’en juger extérieurement ! Seul le positionnement intérieur qui préside à l’action permet de déterminer si celle-ci s’inscrit dans la dualité ou dans l’unité.

Ceci étant dit, puisqu’il est important pour moi d’exprimer mon ressenti par rapport à la crise que nous traversons, voici un résumé de ma vision des choses, sous forme de questions-réponses. Si les premières questions permettent de mieux comprendre la nature de la manipulation dont la population mondiale est victime, c’est surtout les dernières questions qui sont les plus essentielles, car l’important n’est pas tant de comprendre ce qui se trame, mais de comprendre quel est le juste positionnement intérieur à adopter face aux événements si l’on veut véritablement se donner une chance d’avoir un impact réel sur ce qui se passe.  

Il s’agit d’une vaste supercherie mondiale. Je ne nie bien évidemment pas l’existence de ce nouveau coronavirus nommé SARS-CoV-2, mais je dénonce l’instrumentalisation politique qui en est faite et qui sert les intérêts d’une caste d’individus influents et puissants dont le plan est d’instaurer une dictature planétaire portant le nom de « Nouvel Ordre mondial ».

Que l’on adhère ou non aux théories du complot* selon lesquelles ce virus serait causé par une exposition au champ électromagnétique produit par la 5G ou qu’il aurait été fabriqué dans le laboratoire P4 de Wuhan, il est évident que cette pandémie profite à une certaine élite mondialiste, de l’aveu même d’un de ses plus éminents représentants, Klaus Schwab, fondateur du World Economic Forum (WEF), pour lequel cette pandémie représente une « fenêtre d’opportunité » (je renvoie les lecteurs à son édifiant ouvrage « Covid-19 : la Grand Réinitialisation« ).

Quand je parle de « Nouvel Ordre mondial », il faut penser à un monde orwellien régi par l’intelligence artificielle, le « tout numérique », au sein duquel chaque individu est contrôlé, où les désirs sont influencés et où l’hégémonie du système totalitaire est entretenue en faisant la guerre à tout qui sort du cadre de la pensée unique. C’est un monde où la vie intérieure, spirituelle, le contact avec la nature et avec les autres, ainsi que la liberté de déplacement et d’expression,  sont sacrifiés sur l’autel du conformisme, de l’égalitarisme, du progressisme et du transhumanisme.

On ne comprend absolument rien à la civilisation moderne si l’on n’admet pas d’abord qu’elle est une conspiration universelle contre toute espèce de vie intérieure. Georges Bernanos

*Ajout du 15 décembre 2021 : il semblerait que depuis la parution de mon article, de l’eau ait coulée sous les ponts et que l’hypothèse d’un virus créé en laboratoire avec des « gains de fonction » soit désormais également relayée par les médias mainstream, ceux-là même qui avançaient la « théorie du complot » dès qu’une hypothèse s’écartait un tant soit peu du narratif officiel. Voir par exemple cet article du figaro datant du 14 octobre 2021. Aussi, l’hypothèse des perturbations liées au rayonnement des antennes relais 5G, très tôt censurée car jugée trop « complotiste » au goût de certains, est désormais considérée comme sérieuse, comme le conclut cette étude du National Institutes of Health, publiée le 29 septembre 2021.

« Instrumentalisation » veut justement dire que la pandémie est utilisée pour servir les intérêts de l’élite mondialiste.

On voit que la dictature sanitaire… euh la crise sanitaire… pardon, exacerbe les tensions sociales, ce qui fait les affaires du sommet de la pyramide, dans l’optique du fameux « diviser pour mieux régner ». On peut imaginer également qu’elle permet de rendre le peuple plus malléable et suggestible, comme l’explique bien la théorie de la « stratégie du choc« , cela, pour mieux faire passer des lois et mesures restrictives des libertés – illégalement et anti-démocratiquement, soit dit en passant –, justifiées par un soi-disant « état d’urgence » et sous couvert de santé publique, alors que les élites se fichent royalement de la santé des gens.

Enfin, le fait qu’il s’agisse d’une pandémie et que toute la planète soit touchée, peut justifier la mise en place d’une gestion mondiale et faire ainsi le jeu du « Nouvel Ordre mondial ». On se souviendra à ce titre des propos de Jacques Attali, partisan d’un gouvernement mondial. 

D’ailleurs, si l’on veut aller un peu plus loin, la pandémie pourrait servir les intérêts des gouvernements ralliés au Nouvel Ordre mondial, dans la mesure où elle justifierait la création d’une identité numérique personnelle (nanoparticules sous-cutanées , certificat biométrique, passeport vaccinal ou immunitaire, etc.).
En considérant tout ce qui pourrait être lié à cette identité numérique (le passeport vaccinal mais aussi énergétique, la monnaie numérique, etc.), dont l’individu dépendrait pour vivre et évoluer au sein du Système, il est évident que cela favorisait la mise en place d’un contrôle social sur la base d’un modèle similaire à celui utilisé en Chine avec le « crédit social ». Dans ces conditions, il serait facile d’évaluer le comportement des individus et d’exercer sur eux un chantage social pour les rendre dociles et conformes, permettant ainsi aux autorités de maintenir un ordre social propice à la pérennité de l’idéologie mondialiste néolibérale. 

C’est bien sûr ce qu’on veut nous faire croire. Mais en vérité, il y bien d’autres solutions, comme des traitements ayant fait leurs preuves et dont le rapport bénéfice-risque est sans nulle doute meilleur que celui des vaccins produits à la hâte, sans le principe élémentaire de précaution qui imposerait plusieurs années d’expérimentations pour s’assurer qu’il n’y ait pas d’effets secondaires pire que la Covid-19 elle-même.

Certains médecins et scientifiques osent même parler à ce titre de scandale sanitaire sans précédent dans l’histoire de l’humanité, précisément à cause du fait que des traitements efficaces et peu onéreux ont été évincés par les gouvernements pour se concentrer exclusivement sur la vaccination, ce qui aurait permis de sauver des vies, il faut quand même le préciser car c’est bien cela qui justifie pleinement l’usage du mot « scandale » ! On se souviendra également à ce propos du scandale du Lancet, qui aura fait perdre beaucoup de crédibilité à cette prestigieuse revue scientifique. 

L’obstination de la majorité des gouvernements à n’entrevoir que la vaccination comme remède pour sortir de cette crise – alors que d’autres traitements efficaces ont déjà fait leurs preuves contrairement à la vaccination -, est selon moi l’indice le plus flagrant qu’il y a une réelle instrumentalisation politique de cette crise, en vue de l’instauration d’une gouvernance mondiale. 

Le fait que seulement 1% des gens contaminés meurent de la Covid-19 (statistique qui est en plus « gonflée » en comptabilisant également les personnes décédées avec la Covid-19 en plus de celles qui sont mortes de la Covid-19…) démontre bien que toutes les mesures liberticides imposées aux populations sont totalement disproportionnées et qu’elles servent des intérêts qui s’opposent au bonheur et à l’épanouissement du collectif humain, j’en veux pour preuve les dégâts collatéraux de ces mesures sur le plan psychologique, dont les conséquences seront bien plus dramatiques que les effets du virus lui-même, à court, moyen et long termes.

Pour revenir à la vaccination, j’ai le sentiment qu’elle sera présentée comme la condition sine qua non au retour à la « normale » et que les gens seront d’autant plus prompts à accepter cette vaccination qu’elle leur permettra de recouvrer leurs libertés (« conditionnelles ») et aussi d’échapper au sentiment de la peur induit pendant des mois par les gouvernements et les médias qui leur sont inféodés.

C’est ce qu’ils seraient censés faire, mais on en est bien loin ! La démocratie est une douce illusion, non seulement parce que l’information qui doit permettre au peuple de décider en toute connaissance de cause, est « orientée », mais aussi et surtout parce que les chefs de gouvernement se moquent complètement du sort du peuple (sauf quand ils ont un avantage à en tirer bien entendu…). Ces individus sont avides de pouvoir et ne servent que leurs propres intérêts ou ceux de leurs maîtres. Dépourvus d’empathie et de capacité à se remettre en question, ils sont pour la majorité d’entre eux atteints de psychopathie.

Dans ces conditions, comment voulez-vous qu’ils se soucient réellement du bien-être des gens ? Ont-ils eu le moindre scrupule à sacrifier tout un pan de l’économie et à mettre en situation précaire des millions d’individus en imposant les mesures liberticides déjà évoquées, pour protéger une minorité d’individus vulnérables (cherchez l’erreur !), sachant qu’il y aurait bien d’autres solutions pour le faire ? Autrement, ils auraient pris en considération ces fameux dégâts collatéraux dans la balance bénéfice-risque. Bien sûr, ils jouent les altruistes, se font passer pour des gens bien sous tous rapports. Mais ce sont des hypocrites. Ce n’est que de la « politique spectacle » pour faire illusion ; un jeu d’acteur auquel ils sont très forts, en excellents manipulateurs-séducteurs qu’ils sont !

Cependant, à moins qu’ils soient placés dans une position de dictateur – comme ce fut le cas de Kadhafi par exemple –, le pouvoir des chefs de gouvernement n’est pas total. S’ils sont ralliés au plan du Nouvel Ordre mondial, alors vous pouvez être sûr qu’ils servent les intérêts de l’élite dont j’ai parlé. Avez-vous déjà entendu parler du lobbying ? Les lobbies sont très puissants. Ils défendent les intérêts des grandes multinationales, des banques, des fondations, des ONG, etc. Et si vous remontez à la source de toutes ces organisations, vous retrouvez cette élite ! Comme le disent les américains : follow the money, si vous voulez savoir qui tire les ficelles dans toute cette affaire…

Depuis plusieurs décennies, les tenants du mondialisme néolibéral ont œuvré de main de maître pour transférer le pouvoir aux organisations précitées. Désormais, ce n’est plus les chefs de gouvernement qui décident, mais le secteur privé.

Quelque chose doit remplacer les gouvernements, et le pouvoir privé me semble l’entité adéquate pour le faire. » David Rockefeller (Source : New Rules of the Game : Looking for New Leadership, Newsweek, 1er février 1999, p.41.)

Dans un tel système où l’argent est le nerf de la guerre, il serait bien naïf de croire que nous sommes en démocratie et que le peuple possède un quelconque pouvoir. En vérité, cette forme de capitalisme est totalement incompatible avec la démocratie, à plus forte raison lorsqu’elle est couplée avec l’idéologie communiste du contrôle des masses.

La possibilité d’ouvrir les marchés et de faire toujours plus d’argent avec le libre-échange semble être à l’origine de toutes les dérives et de toutes les corruptions que nous pouvons observer dans le monde entier et dont cette pseudo-pandémie est le triste révélateur. L’enrichissement de cette élite oligarchique composée d’individus déjà ultra-riches et, à l’opposée, l’appauvrissement des masses qui doivent en plus composer avec davantage de contraintes économiques et sociales, offrent en effet un triste panorama des conséquences du système mondialiste néolibéral qui prévaut actuellement dans notre monde moderne. Le fossé qui se creuse toujours plus n’affecte toutefois pas seulement la grande majorité des êtres humains mais également le vivant dans son ensemble. En effet, les espèces végétales et animales souffrent énormément de la pollution générée par ce Système, et ce n’est pas les politiques en matière d’écologie et de lutte contre le réchauffement climatique qui y changeront quoi que ce soit, celles-ci n’étant que de la… poudre aux yeux.

Pour répondre à votre question de manière plus directe, les gouvernements ne défendent donc absolument pas les intérêts de leurs populations. Ils sont à la solde de cette élite détentrice des capitaux, celle qu’on appelle aussi… le « grand capital ». Mais le capitalisme a évolué et le « marché » n’est plus au centre de ses seuls préoccupations. En effet, l’élite a compris depuis belle lurette qu’il lui fallait s’inspirer de l’idéologie communiste en instaurant également un contrôle social à large échelle, ce que l’ingénierie sociale couplée à la technologie actuelle lui permettent désormais de réaliser de manière diablement efficace. Ainsi, en contrôlant à la fois les masses et les capitaux, l’hégémonie du « Nouvel Ordre mondial » peut devenir totale et très difficile à faire vaciller.

Après avoir usé et abusé d’un faux libéralisme, la réorganisation sociétale semble promettre de ressusciter le modèle soviétique, au profit de privés cette fois. » Liliane Held-Khawam

C’est une évidence qu’il y a des individus qui jouent un rôle déterminant dans la planification et le déroulement des événements au niveau planétaire, sans y voir une société secrète ou un groupe ethnoreligieux comme le font systématiquement les complotistes les plus extrémistes, qui cherchent à tout réduire à une pensée simpliste. Je dirais que ce sont plutôt des cercles d’influence ou des parties prenantes fondamentalement attachées à l’idéologie mondialiste néolibérale et dont les intérêts convergent le plus souvent.

C’est ce que certains ont appelé l’ « État profond » (Deep state, en anglais). En voici une définition à mon sens très complète, donnée par le journaliste Benjamin Masse-Stamberger : 

« Il existe, au sein de nos élites, des groupes d’intérêt qui disposent d’un pouvoir exorbitant, et qui utilisent ce pouvoir non pas au service de l’intérêt général, mais pour leur intérêt propre. On peut définir l’État profond comme étant la somme de ces groupes d’intérêt : l’addition du pouvoir économique (multinationales, Gafas, Big Pharma…) et des entités vouées à la surveillance et au contrôle des populations (services de renseignement, entreprises spécialisées dans la « sécurité », « l’intelligence économique »…). En fait, la notion d’État profond n’est rien d’autre qu’une réactualisation de ce qu’Eisenhower avait dénommé le « complexe militaro-industriel » : une pieuvre vouée à faire avancer l’agenda d’une minorité, aux dépens des intérêts de la majorité. Mais, depuis les années 1950, le rapport de forces entre cette minorité, et les  intérêts de la majorité (qu’on peut appeler  « la démocratie », ou encore la « souveraineté nationale ») a profondément évolué. Le mur de Berlin est tombé, la mondialisation est passée par là, et le complexe militaro-industriel est devenu une pieuvre omnipotente qui régente nos vies, que cela soit au niveau économique, politique, technologique, sanitaire. » (source)

L’État profond est donc le nom donné à une élite composée d’individus foncièrement égoïstes dont l’intérêt premier est de se servir des populations (au lieu de les servir !) pour affermir leur pouvoir et maintenir les privilèges qui en découlent. Toutefois, la concernant je parlerais plutôt d’une « pseudo-élite » ou d’une élite « inversée », celle qui a pris la place de l’Élite véritable et qui en usurpe la fonction depuis des siècles. Les gouvernements, de même que les grands médias ou les scientifiques et médecins liés à Big Pharma, ne sont que les « marionnettes » (ou les exécutants si vous préférez) dans cette histoire. Les vrais donneurs d’ordre, ce sont les « marionnettistes » qui forment cette pseudo-élite. Moins exposés médiatiquement (à quelques exceptions près…) que les marionnettes dont ils tirent les ficelles, ces marionnettistes sont des individus très puissants par leur fortune, leur statut familial et leurs réseaux d’influence. Bill Gates en fait partie et son projet de faire vacciner sept milliards d’êtres humains via sa Fondation (source) devrait nous mettre la « puce » à l’oreille, sans vouloir faire de mauvais jeu de mots.

Le monde est gouverné par de tout autres personnages que ne se l’imaginent ceux dont l’œil ne plonge pas dans les coulisses. » Benjamin Disraeli

Ah… la fameuse théorie du complot ! C’est très à la mode depuis quelque temps, tant chez ceux qui se plaisent à les propager sous n’importe quelle forme (discréditant les chercheurs de vérité sérieux et faisant par là le jeu de l’élite mondialiste) que chez ceux qui les dénoncent comme autant de fake news, expression devenue elle aussi très à la mode.

J’ai lu un jour qu’il y avait deux erreurs fondamentales à ne pas commettre au sujet de la « théorie du complot ». La première c’est de voir des complots partout. La seconde, c’est de croire qu’ils n’existent pas. C’est très juste ! Les complots ont toujours existé. Paraît-il que J. Edgar Hoover, directeur du FBI pendant près de 50 ans (quand même !), aurait dit que « l’individu est handicapé en se retrouvant face à une conspiration si monstrueuse, qu’il ne peut croire qu’elle existe. » Et on peut difficilement contester le fait qu’il était bien placé pour savoir très exactement de quoi il parlait…

Ceci dit, pour cette histoire de « puce », il n’y a aucun complot puisque tout est révélé publiquement à propos d’un « carnet de vaccination sous-cutané » et d’un « certificat biométrique ». Cela est confirmé dans cet article du journal Le Monde, auquel on ne peut de toute évidence pas prêter des intentions complotistes et ce d’autant plus qu’il est financé par la Fondation Bill et Melinda Gates. D’ailleurs, le 26 mars 2020, l’entreprise Microsoft (fondée par Bill Gates, encore lui) a breveté une technologie qu’il sera possible de connecter à l’être humain en lien avec l’usage de la crypto-monnaie et dont le numéro de publication est porteur des chiffres 060606. Coïncidence ou pas, cette affaire de puce est quand même étrangement très en lien avec la fameuse « marque de la bête » dont parle l’Apocalypse de Jean : 

Et il fait que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et obligés, reçoivent une marque dans leur main droite ou dans leur front: et que nul ne puisse acheter ou vendre, sauf celui qui avait la marque, ou le nom de la bête, ou le numéro de son nom. Voici la sagesse. Que celui qui a l’intelligence compte le nombre de la bête, car c’est le nombre d’un homme; et son nombre est de six cent soixante-six. (Apocalypse 13:16-18)

Les possibilités de contrôle de l’être humain grâce à des nanoparticules, des substances chimiques et des ondes, ne relèvent plus de la science-fiction, et ce n’est pas irréaliste de penser que pour parvenir à faire prospérer « son » Nouvel Ordre mondial, l’élite mondialiste, pour laquelle la fin justifie toujours les moyens, influence directement le corps et la psyché de l’être humain. D’ailleurs, dans un article publié sur leur site internet (supprimé depuis), les membres du World Economic Forum se questionnaient sur les possibilités offertes par les ondes pour contrôler l’esprit humain. Même si ce sont toujours les bénéfices de la technologie qui sont mis en exergue, en particulier pour la santé, la sécurité ou la cohésion sociale, il n’est pas interdit d’imaginer que l’idéal du « bien commun » que promeuvent opportunément ces mêmes élites cache une intention beaucoup moins avouable : l’usage de la technologie pour affermir sa position de pouvoir au travers d’une forme de contrôle social encore jamais vue auparavant, qui est précisément cette influence à distance sur le corps et sur la psyché afin de rendre le mode de pensée de l’être humain conforme à celui de l’idéologie mondialiste. 

Je sais qu’une telle dystopie peut paraître délirante, mais cela ne serait pas la première fois dans l’histoire de l’humanité que la réalité dépasserait la fiction, pour le pire plutôt que le meilleur. La volonté de contrôle du peuple par les élites détentrices du pouvoir a toujours existé, à la différence qu’aujourd’hui la technologie offre des moyens bien plus puissants et efficaces d’y parvenir. 

Ajout du 16 septembre 2023 : Les médias de « grand chemin » (c’est la traduction littérale de mainstream) parlent désormais ouvertement de la possibilité de se faire injecter une puce sous-cutanée (voir cet article). L’idée n’a donc rien de « complotiste », même si c’est bien évidemment le côté pratique de la technologie qui est mis en avant, et non les potentiels avantages que les multinationales et les gouvernements pourraient tirer de la quantité phénoménale d’informations fournie en temps réel par les données biologiques et psychologiques des individus. Car il est bien clair que la technologie, ainsi directement introduite sous la peau, peut non seulement évaluer en permanence les données physiologiques de l’individu avec une extrême précision, mais aussi déterminer son état d’esprit. Dans un avenir pas si lointain, il est même fortement probable que la technologie soit capable de retranscrire avec une grande précision la nature même des pensées de l’individu. On imagine alors sans peine les atteintes fondamentales aux libertés individuelles – la liberté de conscience en premier lieu -, que pourrait engendrer un « capitalisme de surveillance » à l’échelle mondiale. En effet, si l’on peut sonder le for intime des gens, on peut exposer leur conscience à des informations ou des stimuli de manière à orienter différemment leurs désirs autant que leurs pensées (et donc aussi leur comportement), ou restreindre le champ de leurs libertés individuelles si leur vision du monde n’est pas en phase avec celle de l’élite, comme c’est déjà le cas avec le crédit social en Chine. C’est ainsi que la technologie deviendrait un redoutable moyen au service de l’élite pour contrôler les masses et assoir son totalitarisme soft sous la forme de son Nouvel Ordre mondial. 

Le pire c’est que c’est exactement de cela dont il s’agit. Les gens de cet acabit sont parfois persuadés de « faire le bien », d’être des humanistes, des philanthropes allant même carrément à se prendre pour des Messies pour certains d’entre eux. Mais comme le dit bien l’expression, l’enfer est pavé de bonnes intentions, et ce d’autant plus lorsque les intentions sont motivées par l’argent et le pouvoir qu’il confère !… Comme l’a dit le Christ, on ne peut servir deux Maîtres à la fois. Soit on sert Dieu, soit on sert ses propres intérêts, ceux de l’ego ! En vérité, étant donné que ces individus sont atteints de cette terrible maladie mentale qu’on appelle « psychopathie », à leurs yeux les notions de « bien » et de « mal » ne sont pas en lien avec la morale ou le rapport à Dieu comme c’est le cas pour les gens « normaux » qui sont dotés de conscience contrairement à eux, mais avec la seule satisfaction de leurs désirs, de façon totalement… amorale. Leur fonctionnement est uniquement lié à l’instinct de survie. Pour eux, le « bien » est ce qui leur procure du plaisir et, à l’inverse, le « mal » est exclusivement ce qui est leur procure du déplaisir. Certains peuvent certainement parvenir à s’illusionner pour se donner bonne conscience en imaginant que ce qu’ils entreprennent sert le bien commun, mais au fond, c’est égoïstement leurs intérêts qu’ils servent exclusivement. C’est la caractéristique principale de leur psychopathie, dont découlent toutes les formes de malveillance dont ils sont capables.  

Il faut considérer que l’inversion des valeurs est très caractéristique de la période apocalyptique que nous traversons. Saint-Paul disait : « quand je désire faire le bien, je suis attaché au mal » (Romains 7:21). Faire le bien, par intérêt personnel, revient à faire le mal, et c’est là tout le cœur du problème car ces gens-là, en agissant de manière purement égoïste, créent un profond décalage avec l’Ordre naturel des choses, c’est-à-dire avec les Lois universelles qui participent à l’ordre, à l’équilibre et à l’harmonie au sein du Vivant. La conséquence naturelle de ce déséquilibre est la souffrance de l’âme, qu’ils chercheront à éliminer (grâce aux « progrès » de la science…) à partir des mêmes aspirations à « faire le bien », dans une fuite en avant prenant la forme d’une spirale infernale dont l’issue ne pourra être que fatale pour la civilisation qui fonctionne sur la base d’un tel paradigme. Ce sera l’autodestruction, inévitablement…

Ajout du 16 septembre 2021 : pour mieux comprendre en quoi l’élite est « humaniste », lire l’article l’élite nous veut-elle du mal ?

Pour aborder cette problématique, il faut prendre un peu de hauteur pour s’apercevoir qu’on prend le problème à l’envers. Dans la logique pasteurienne sur laquelle est fondée toute l’idéologie vaccinale et plus globalement tout le paradigme du système pharmaco-médical actuel, on focalise toute l’attention sur l’agent pathogène ou le symptôme, oubliant que la santé est avant tout une question de terrain biologique, d’immunité ! Comme l’aurait dit Claude Bernard : « le microbe n’est rien, c’est le terrain qui est tout, Pasteur est fou ! ». La vaccination va tout-à-fait dans le sens de ce système pharmaco-médical, qui n’a aucun intérêt à informer les gens sur les causes réelles des maladies, puisque rétablir les véritables fondements de la médecine antique d’Hippocrate engendrerait des pertes financières colossales et la probable banqueroute de ce système.

Avec la vaccination de masse, on intoxique des gens bien-portants sous prétexte qu’il faut protéger les plus faibles (en ne manquant jamais une occasion de culpabiliser les réfractaires…), sans se soucier de la cause réelle de la santé déficiente de ces personnes, qui se situe le plus souvent au niveau de leur mode de vie (que très peu sont réellement prêtes à changer…).

Bien sûr, il y a des personnes qui n’y peuvent absolument rien car leur immunité est génétiquement déficiente au départ. Mais protéger ces personnes par la vaccination (et encore faudrait-il qu’elle soit 100% efficace, ce qui n’est absolument pas le cas…) de huit milliards d’êtres humains, est-il fondé compte tenu des effets secondaires produits par la vaccination (dont certains en meurent, il ne faudrait tout de même pas l’oublier…) ? Qui tient compte de la balance bénéfice-risque dans ce calcul ? En tous cas pas le « système de santé », dont les conflits d’intérêts sont évidents !…

Ajout du 6 septembre 2021 : en complément d’informations, voir l’article Plaidoyer pour la liberté vaccinale
Ajout du 1er décembre 2022 : sachant que la vaccination n’est pas aussi efficace pour empêcher la transmission du virus qu’on a voulu nous le faire croire, le bien-fondé d’une campagne de vaccination de masse au niveau mondial peut aujourd’hui être légitimement remise en cause.  

Exactement, et cela va même plus loin que cela. Le Système global (dont le système pharmaco-médical est un sous-système) ne veut pas que l’individu guérisse et devienne libre, qu’il s’éveille spirituellement. Il veut le maintenir dans un état de dépendance et d’esclavage, et pour cela il doit l’intoxiquer et l’affaiblir.

C’est en fait très simple à comprendre : un individu spirituellement « éveillé » trouve son bonheur dans la simplicité du moment présent. Il est de ce fait libéré des désirs qui auparavant l’incitaient à consommer des choses dont il n’avait pas vraiment besoin mais dont il se servait pour obtenir compensation. Or, si la recherche du plaisir conditionné, qui est le fondement même de la culture hédoniste sur la base duquel prospère le Système actuel, n’existe plus chez un « éveillé », il est très facile de comprendre que cela mènerait rapidement à un effondrement de la consommation, donc à la banqueroute du Système, qui n’aura d’autre choix que de s’adapter à un nouveau paradigme déterminé par des êtres libres et souverains. 

Pour revenir à la question de la santé, le fait que les « marionnettes » dont j’ai parlé plus haut, soit les grands médias, les gouvernements et les scientifiques et médecins inféodés à Big Pharma, ne parlent jamais de l’importance du terrain et plus précisément de l’immunité, tend à prouver cette sombre stratégie qui consiste à intoxiquer et affaiblir la nature humaine. Le bon sens voudrait que ceux qui ont le pouvoir d’atteindre la population par l’intermédiaire des grands médias (télévision, presse, internet) lui expliquent comment renforcer son immunité avec des mesures qui pour la plupart ne coûtent rien ou pas grande chose. Mais évidemment, il y aurait conflit d’intérêt entre les marionnettes et l’élite qui en tire les ficelles.

Je rappelle à ce propos que le virus n’est pas la cause de la maladie, mais son facteur déclenchant. La cause, c’est la déficience de l’immunité, causée dans la majorité des cas par une inflammation du terrain biologique, elle-même produite par la présence en excès de radicaux libres, excès lui-même causé par une exposition insuffisante de l’organisme aux ions négatifs (présents en grande quantité dans la nature, de laquelle l’homme moderne est de plus en plus coupé…). Et si l’on s’intéresse aux causes de ces déséquilibres responsables des états maladifs, on en arrive toujours au mode de vie du malade, incluant son mode de pensée, sa gestion des émotions et son alimentation en premier lieu. Pour en revenir à Hippocrate, n’aurait-il pas dit que « les maladies ne sont que les conséquences de nos habitudes de vie » ?

Oui, mais indirectement, dans le sens où il nous rend dépendant d’un mode de vie qui est antinaturelle.

En effet, à moins de vivre clandestinement en autarcie dans la nature, nous dépendons actuellement totalement du Système pour survivre.  Le mode de vie de l’homme moderne est donc totalement sous l’influence de ce Système, dont font partie les banques, l’industrie agro-alimentaire, toute l’industrie du divertissement et bien sûr Big Pharma. Et qui trouve-t-on à la tête de tout cela ? Cette pseudo-élite, pardi ! C’est le pompier-pyromane qui détruit l’immunité et qui vient ensuite apporter ses faux remèdes qui apportent un soulagement localisé, mais qui détruisent encore davantage l’immunité dans une spirale infernale, rendant l’être humain toujours plus faible, donc toujours plus influençable, manipulable.

Et la tendance n’est pas prête à s’infléchir si l’on considère cette abomination qu’est le transhumanisme. S’appuyant sur les innovations de la technoscience, cette idéologie est censée améliorer les conditions de vie de l’être humain, le rendre plus performant, le faire vivre plus longtemps, tout cela pour éviter la souffrance et maximiser le plaisir, sur la base des valeurs hédonistes sur lesquelles s’est construit le monde moderne. Cette dérive sert là aussi parfaitement les intérêts de l’oligarchie, dont le sombre plan est d’aller jusqu’au point où l’être humain n’aura plus aucune possibilité de maîtriser sa propre conscience. Devenu entièrement robotique, sa mise en esclavage sera alors totale, sans plus aucune possibilité d’émancipation et donc d’éveil spirituel, celui-ci étant plus la grande menace à la pérennité du « capitalisme de surveillance ». Dans une inversion totale des valeurs, ce qu’on nous présente donc comme un « progrès » est la pire chose qui puisse arriver à l’humanité. 

Science sans conscience n’est que ruine de l’âme. » Rabelais

C’est vrai que c’est triste et déprimant à certains égards. Mais il ne faut toutefois pas considérer l’humanité comme une victime impuissante de cette pseudo-élite constituée de sociopathes qui la mènent dans la mauvaise direction pour servir ses seuls intérêts.

L’humanité est souveraine et maîtresse de son destin. La possibilité de l’Éveil spirituel est offerte à l’être humain et fort heureusement il n’est pas encore trop tard pour qu’il en profite. Tant qu’il restera maître de sa conscience, il lui sera toujours possible de sortir de la caverne des illusions ! C’est à mon sens LA clé pour réformer le Système car celui-ci ne peut changer que si l’être humain se donne les moyens de « soigner le mal » à la racine, c’est-à-dire en lui-même, en renonçant à toutes ses mauvaises habitudes de vie, celles qui permettent au Système actuel de prospérer et de gagner chaque jour un peu plus de terrain.

C’est une révolution silencieuse qu’il convient d’opérer, une conversion intérieure grâce à laquelle l’attention est mise sur l’instant présent et sur ce qui participe vraiment à l’éveil de l’âme, à sa guérison, à son épanouissement. Cela implique de réformer le quotidien, changer les habitudes de vie, consommer moins et différemment. L’être humain a un immense pouvoir lorsqu’il prend vraiment ses responsabilités de créateur souverain et conscient…

En résumé, soit l’humanité se maintient dans la soumission ou se révolte et s’acheminera dans un cas comme dans l’autre vers ce Nouvel Ordre mondial qui sera plutôt un chaos mondial, soit elle choisit une troisième voie, la Voie du Milieu, et pourra alors envisager la possibilité de voir émerger une Nouvelle Terre.

Certainement pas les huit milliards d’individus qui peuplent notre planète, mais je veux croire qu’il suffirait qu’une masse critique déploie des efforts en ce sens pour que les choses commencent vraiment à bouger.

Ce sont toutes les personnes qui ont compris en quoi la Voie du Milieu est la seule qui puisse véritablement transmuter notre monde intérieur et, par voie de conséquence, le monde extérieur. Ce sont celles et ceux qui ont compris qu’il faut d’abord se sauver soi-même avant de vouloir sauver le monde ; ce sont celles et ceux qui ont compris le sens profond de cette phrase de Gandhi : « soyez le changement que vous voulez voir dans le monde », et qui bien sûr se donnent les moyens de mettre cette philosophie en application dans leur vie de tous les jours, par la recherche de l’équanimité, l’ataraxie de l’âme, en toutes circonstances au niveau de la conscience et par les gestes, les paroles et les actes inspirés qui en découlent sur le plan physique. Nous vivons dans un univers vibratoire où « ce qui est en haut est comme ce qui est en bas » et où on ne peut donc pas créer l’harmonie à l’extérieur si elle fait défaut à l’intérieur de soi.

Il y a toujours eu des révoltés, des révolutionnaires dans l’âme, au cours des derniers siècles. Ne devrait-on pas se demander pourquoi la situation est de pire en pire en dépit de toute l’énergie déployée pour faire changer les choses ? Eh bien c’est simplement parce que « faire le bien » à partir de l’ego ne fait que renforcer le « mal ». Et quand je parle de l’ego, je veux simplement parler des croyances, des intentions, des conditionnements, derrière lesquels il y a toujours un intérêt personnel, même bien caché derrière des apparences humanistes et altruistes.

Si l’on veut vaincre une fois pour toute le « mal », il convient donc de changer complètement de paradigme, en renonçant à la dualité inhérente à l’ego, pour s’engager sur cette Voie du juste Milieu. Encore une fois, tout est question de vibration, de tonalité intérieure…

Ils sont utiles sur un plan relatif, mais sur le plan absolu ils font partie du problème. Il est capital de comprendre pourquoi si l’on est engagé dans une quête spirituelle.

Face aux informations que les lanceurs d’alerte transmettent – que ces informations soient vraies ou fausses –, de plus en plus de gens se réveillent et commencent à se rendre compte que quelque chose ne tourne pas rond avec ce Système. Cependant, si cela s’avère positif sur le plan relatif dans l’optique du combat entre le « bien » et le « mal », il faut bien comprendre que sur le plan absolu tout cela maintient la dualité en place, au détriment de l’unité, qui seule peut libérer spirituellement l’être humain.

Car le réveil des consciences, sur fond de révolte et d’indignation, ne doit pas être confondu avec l’éveil de l’âme humaine, éveil qui ne peut fleurir qu’à partir d’une conscience calme, équanime, en unité avec ce qui est, c’est-à-dire en phase avec la réalité, telle qu’elle est, dans un état d’acceptation totale, inconditionnelle.

Je ne suis pas en train de dire qu’il faut faire l’autruche et que l’on peut se laisser marcher sur les pieds, car accepter ne veut pas dire tolérer. Non, il faut simplement comprendre qu’il y a un monde entre lutter contre ce que l’on ne veut pas à partir d’un ego en souffrance dans l’espoir que les choses changent et que la souffrance en soit allégée en conséquence, et agir en faveur de ce à quoi l’on aspire en son cœur, à partir d’une conscience éveillée, déjà paisible, libre et joyeuse de par son unité avec la dimension spirituelle de l’être – l’Esprit.

Comme je l’ai déjà fait remarquer, l’illusion va même plus loin que cela puisque faire le « bien » ou simplement vouloir le faire, sur la base des impulsions d’un ego révolté et indigné, renforce la dualité et donc aussi le « mal » en tant qu’aspect de cette dualité. Ainsi, même si en apparence l’élite semble menacée, le principe du « mal » que cette élite incarne se trouvera toujours renforcé lorsque le combat est mené à partir de l’ego, car sur le plan relatif – celui de la dualité –, le « bien » et le « mal » sont les deux facettes d’une même pièce, toujours en équilibre.

À ceci, on pourrait rétorquer que la censure des lanceurs d’alerte prouve qu’ils représentent une réelle menace pour l’élite. C’est ce qu’elle cherche à nous faire croire, mais cela fait partie de la pièce de théâtre. Le fait que ses plans soient dévoilés fait parfaitement son affaire dans la mesure où tout cela suscite encore plus de révolte et d’indignation. D’ailleurs, si cela ne faisait pas son affaire, elle n’en parlerait pas aussi ouvertement…

Tout cela est un grand jeu de dupe dont les membres de l’élite sont les illusionnistes et dans lequel vous êtes perdant, quoi que vous fassiez, disiez ou pensiez du moment où vous agissez à partir de l’ego, sous l’emprise des impulsions de désir et d’aversion.

Les membres de l’élite sont les marionnettistes de la caverne de Platon. Ils projettent les ombres sur ses murs, ces ombres qui font réagir les prisonniers et captivent leur attention afin de la détourner de l’essentiel, pour les maintenir ainsi dans l’illusion. Cela veut donc dire que même si l’on connaît la vérité sur la nature des marionnettistes, sur leurs sombres desseins et sur leurs sordides agissements, du moment où l’on est en réaction d’une manière ou d’une autre sur le plan de l’ego, on est encore et toujours pris au piège de la caverne et de ses illusions.

La seule façon de ne plus se faire avoir est de sortir de la dualité inhérente au monde sensible – que la caverne de Platon symbolise –, en transcendant l’ego ! Et cela n’est possible qu’en positionnant la conscience dans l’équanimité et en agissant avec justesse, en adéquation avec les Lois universelles.

Comme l’a dit Platon justement : « ne fais rien si ce n’est selon l’ordre du Principe immanent, rien contre la Loi commune qui régit le corps entier, ne cédant jamais à l’entraînement des affections, soit au bien, soit au mal. »

Il s’agit de vivre en conformité avec le Tao ou le Dharma, comme le disent les orientaux. Il s’agit de chercher le Royaume de Dieu et sa justice, comme l’a proclamé le Christ…

Citation à méditer :

"Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux."

Au sujet de l’équanimité et de la Voie du Milieu

Les deux vidéos ci-dessous ont été réalisées pour aider à comprendre l’importance de l’équanimité en tant que clé fondamentale de conversion intérieure et de salut spirituel. Il faut comprendre que toute volonté de changer le Système ne peut être couronnée de succès tant et aussi longtemps que l’ego restera en place. Comme le disent les Sages depuis des millénaires, avant de vouloir sauver le monde, il faut d’abord commencer par se sauver soi-même ! 

C’est une Quête alchimique qu’il convient d’accomplir et celle-ci implique l’effort de concentration de l’attention grâce auquel la conscience se positionne dans l’équanimité. Aucun salut, aucun éveil, aucune libération de l’ego n’est possible sans ce travail intérieur sur soi-même. Si l’on veut un jour voir la paix et l’harmonie dans le monde, il faut d’abord la créer en soi-même… et pour cela, il faut s’efforcer de renoncer au fonctionnement de l’ego pour rendre l’âme perméable à la Lumière spirituelle. Il n’y a qu’ainsi que l’âme peut être transmutée, s’éveiller et avoir un impact vibratoire réellement transformateur sur la réalité extérieure. 

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Cet article a 6 commentaires

  1. Hug

    Suis en phase avec cette analyse.
    Comment réveiller le plus de consciences a cet état de fait. Comment passer le nombre critique pour faire cette révolution ?

    1. Frédéric

      Bonjour Hug, et merci pour votre contribution à cet article.
      Pour vous répondre, je pense qu’il y a deux possibilités pour que le réveil ait lieu et pour qu’on atteigne cette masse critique :
      1) Informer, parler de la Voie du Milieu ! Les gens doivent savoir qu’il y a cette troisième voie qui s’inscrit au-delà des deux voies majoritairement empruntées aujourd’hui, soit celles de la soumission ou de la révolte/indignation.
      2) Vivre cette Voie, en cherchant l’équanimité le plus souvent possible, car le changement commence par soi-même, c’est vibratoire.
      Bien à vous,
      Frédéric

  2. Aurore

    Bonjour Frédéric,

    Remarquable cet article, la situation est bien décrite et pour la solution proposée, elle mérite d’être connue. Je vais transmettre le message. Par votre démarche, vous faites partie de ceux qui aide et protège l’humanité.
    Aurore

  3. Marie CLEMENT

    Merci Frédéric,

    En totale résonnance avec ce que vous déployez dans cet article.
    Une certaine équanimité apparaît lorsque nous sortons de « devoir » opérer le choix de soutenir ou récuser telle ou telle action, parce que se révèle en chacune d’elle les mêmes composantes dualistes.
    En étant l’observateur attentif de cette vaste manipulation des élites qui n’est que la partie visible de l’immense iceberg de pouvoir imposé par des égo prédateurs, « Cela » nous permet d’en « Voir » ses fondations invisibles cachées à l’intérieur de nous-mêmes. Et là, seulement là, se situe notre terrain d’action.
    De cette capacité à accueillir et Accepter « Ce » qui est « Vu » en son intériorité en parvenant à le transcender, dépendra notre position d’être en ou hors de l’œil de ce cyclone qui sonne le glas des apparences trompeuses auxquelles, il faut bien l’avouer, nous avions peu ou prou consenti par habitude ou commodité.

  4. Brigitte CAROL

    Bonjour Frédéric.
    Pas de commentaires supplémentaires à ce qui a été écrit, et bien écrit…
    S’il est plus facile de comprendre ce que la pandémie met en jeu, et quelle doit être notre attitude, si nous sommes déjà sur un chemin d’éveil, je n’ai pas le sentiment qu’il y ait beaucoup de brassage d’idées qui vont dans le sens de la positivité, chez ceux qui ne cultivent que la peur, bien entretenue par ceux qui nous représentent. (Pas de hasard, n’est-ce pas ?)

    Il conviendrait toutefois d’arrêter de parler de « vaccin » pour nommer une thérapie génique qui n’est pas un vaccin.
    Le mot « vaccin » rassure… (Merci Pasteur !). Les mots « thérapie génique » peuvent faire réfléchir…et encore, pour en avoir parlé à de futurs « vaccinés », j’en doute fortement…
    Nous finirons par détruire les statues de Pasteur pour faire des stèles à la gloire d’Hippocrate, mais, en attendant…il n’y a qu’à suivre tes conseils…
    Bien à toi.
    Brigitte.

  5. rousseau

    Bonjour Frederic. Cela fait plusieurs mois que je suis du coté des révoltés-indignés, à me surinformer au sujet de l ‘arnaque hollywodienne covid 19. Au fond de moi je sens bien que j’y mets trop d’énergie, trop d’émotions, trop d’égo. Je viens de visionner tes vidéos et j’ai retrouvé une paix qui m’avait quitté.
    Oui au refus de cette supercherie, mais sans colère, sans peur et sans esprit de vengeance comme on le retrouve malheureusement chez de nombreux indignés.
    Il me vient à l’esprit la parabole du fils perdu qui revient chez son père miséricordieux. De la même façon, j’ai soif de revenir à un équilibre intérieur, à l’équanimité. Il aura fallu que je me perde un temps pour comprendre le sens de ce mot. Merci pour cette bonne nouvelle
    Bien à toi.

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